J’ai rêvé le chaos. J’ai rêvé l’embrassement des possibles et l’embrasement du catafalque qui berce nos torpeurs dans son éternelle tombée de l’ennui.
Il y avait du feu dans le ciel, et toute la terre tremblait de rage. Il pleuvait de la pierre, et chaque goutte offrait son poids au monde comme un baiser contenant la source de toutes les extases érotiques. Des profusions de brèches perçaient l’opercule de la norme, et à travers les trous l’on percevait des choses que les livres ne savent pas. Continuer la lecture de « Anomia »